17 mai : journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie

17 mai : journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie

L’homophobie est inscrite comme objet d’enseignement dans les programmes d’enseignement moral et civique dès le cycle 2 : « Le respect des autres dans leur diversité », au même titre que d’autres atteintes au respect dû à autrui : « racisme, antisémitisme, sexisme, xénophobie, homophobie, handicap, harcèlement… ». Le sujet de la transphobie est introduit dans le programme d’EMC du cycle 4. Les programmes d’enseignement du lycée permettent aussi d’aborder les sujets de l’homophobie, de la transphobie et de l’évolution des droits des personnes LGBT. (Eduscol). Parce qu’il est important de contribuer « à réguler les relations interindividuelles et à développer chez les élèves des savoir-être et des comportements respectueux et responsables » qu’ils « concernent la mixité, l’égalité ou la lutte contre les violences sexistes et sexuelles, le sexisme, l’homophobie et la transphobie, contraires aux droits de l’Homme » (BO du 19 septembre 2018), les élèves de 4ème C ont travaillé sur ces thématiques à travers le projet annuel L’adolescence dans tous ces états !

Laissons les élèves s’exprimer !

« Bonjour à tous, aujourd’hui, nous sommes le 17 mai, jour de la lutte internationale contre l’homophobie, la transphobie et toutes autres discriminations LGBT+. 

La classe de 4ème C a participé cette année au projet « Adolescence dans tous ses états ! » autour d’activités variées comme la lecture de romans où les personnages, adolescents comme nous, se posent des questions sur leur genre, leur orientation sexuelle ou leurs sentiments. Pour accompagner ce projet et cette cause qui nous concerne toutes et tous, en musique, nous avons appris la chanson « Amour censure » de Hoshi, la voici chantée par la classe. » (Mathéo Bilal)

Découvrez les exposés réalisés par des élèves de la classe sur des chansons de leur choix abordant la question de l’amour, quel qu’il soit.

(cliquer sur chaque image afin de voir l’exposé)

Mme Bonaccorsi, professeure d’éducation musicale.

Mme Syssau, professeure documentaliste.

Mme Dodin, professeure de français.

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