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Présentation de l’ULIS Trouble de la Fonction Visuelle (T F V)

Qu’est-ce que c’est ?

Vous n’avez pas bien compris ?

Nous allons essayer de vous expliquer…

Avant tout, nous sommes une équipe de 13 jeunes collégiens mal voyants et d’adultes (une enseignante spécialisée, une AVS collective et des AVS individuelles) présents pour les aider à suivre le collège le plus possible comme les autres.

Les élèves ne voient pas bien ou pas du tout et cela a de sérieuses conséquences sur leur scolarité, pour le reste ils sont comme les autres.

Nous avons une salle en 213 avec du matériel adapté où les élèves peuvent venir travailler pendant les heures de permanence avec l’aide des adultes présents si nécessaire.

Autel del Dia de los muertos

Les élèves de 4e A, C, D et E ont travaillé en classe sur la fête des morts au Mexique. Les élèves ont réalisé toutes les décorations puis ont mis en place un autel au CDI qu’ils ont dédié à Frida Kahlo (peintre mexicaine). Tous les élèves se sont impliqués dans le projet et ont ainsi pu découvrir les croyances mexicaines sur le thème de la mort.

Mme Inghelbrecht, professeure d’espagnol.


Vidéos sur l’oral du brevet des collèges

Voici deux vidéos qui donnent des informations sur l’oral du brevet et des conseils pour le réussir. Elles ont été conçues par un collègue de l’académie de Rouen (Nicolas Savalle) en partenariat avec l’Onisep.

Épreuve orale du Brevet, c’est quoi ? 2019
Oral du brevet (DNB), le support numérique

Idée de sortie en famille :

Profitez du salon du livre et de la B.D. à la Faïencerie à Creil pour venir rencontrer parmi tant d’autres Jung, auteur de bande dessinée. Il a notamment écrit Couleur de peau : miel, une série de bandes dessinées autobiographiques que l’on retrouve au C.D.I.. Certains élèves ont pu découvrir son adaptation en film lors des sorties collège au cinéma. Son œuvre autobiographique apparaît dans certains manuels de français niveau 3ème.

Dates du salon : 23 et 24 novembre.

Entrée gratuite !

Retrouvez le programme en cliquant sur le lien suivant :

http://www.lavilleauxlivres.com/salon-du-livre-et-de-la-bd/salon-du-livre-de-la-bd-2019/auteurs-presents-2/

Mme Dodin, professeure de français.

Article du Parisien /Oise sud Par Julien Barbare Le 7 novembre 2019 à 19h26

Le harcèlement scolaire expliqué à des milliers d’élèves de l’Oise.

Ce jeudi, vingt collèges et lycées du département ont organisé des actions dans le cadre d’une journée nationale dédiée à ce fléau des cours de récréation.

Au collège Jean-Fernel, à Clermont, les 670 élèves se sont appropriés les murs depuis longtemps. Des mots célèbrent la journée de la femme, des citations mettent en avant des poètes, un portrait a été peint sur une colonne… Ce jeudi, pour la journée nationale « Non au harcèlement », c’est un couloir qui leur avait été réservé, avec de grandes feuilles blanches sur lesquelles ils ont pu s’exprimer. « Entraidez-vous! »; « Vous êtes plus fort que vous ne le croyez ». Jusqu’au « Stop putain », qui a le mérite d’être clair.

« Chaque année, en moyenne, je dois peut-être faire face à cinq cas, dont un grave ».

Une vingtaine d’établissements — collèges et lycées — ont organisé des actions similaires « pour mettre en lumière cette problématique majeure », appuie l’académie d’Amiens. Stéphanie Dameron, la rectrice, était en visite à Noyon, où un projet réunit deux collèges et quatre écoles primaires. « Parler du harcèlement, poser des mots dessus, c’est déjà un premier pas essentiel à réaliser au sein des établissements », souligne Pierre Level, référent académique Harcèlement.

Clermont, ce jeudi. Les élèves du collège Fernel ont pu s’exprimer librement. LP/Julien Barbare  

Au collège Fernel, deux femmes se sont emparées du sujet : Catherine Soliva, conseillère principale d’éducation (CPE) et Valérie Strub, professeure d’histoire-géo et d’éducation morale et civique (EMC). Toutes deux ont à un moment ou un autre été sensibilisées de force. Une expérience personnelle, pour la seconde, et un souvenir professionnel pour Catherine. « J’ai eu à traiter un cas particulièrement marquant, les faits avaient duré deux ans, relate-t-elle. Chaque année, en moyenne, je dois peut-être faire face à cinq cas, dont un grave. »

Dans toutes les classes, des élèves touchés à divers degrés

Un sujet « qui fait peur », pas simple à appréhender. En cela, les passages réguliers d’intervenants spécialisés de l’Education nationale ont aidé. « On se rend compte que, dans toutes les classes, il y a des élèves qui ont été touchés à divers degrés, à un moment ou à un autre, explique Valérie Strub. La manière dont ces personnes formées se positionnent par rapport aux élèves, leur permet de s’exprimer plus facilement. » C’est bien là le but de cette journée. « J’espère que s’ils ont un souci, ils viendront me voir », conclut la professeure.

LP/J.B. 

« La posture de l’adulte, dans un établissement scolaire, et celle d’un évaluateur, complète Isabelle Baratte, la proviseure. Il faut que les élèves apprennent à nous faire confiance. » Dans la salle réservée au débat, les échanges montrent qu’une partie du travail reste à faire. « Moi, je me venge, clame une jeune fille. Si la personne ressent la même chose que la victime, elle ne recommencera pas. » Catherine Soliva intervient : « Mais tu deviens harceleuse à ton tour. » Un autre suggère de « porter plainte à la gendarmerie », un troisième cite « la CPE, la proviseure, l’assistante sociale, les parents… »

Le cyberharcèlement, un défi hors normes

Quelqu’un fait circuler une photo sensible ? « Je lui casse son téléphone », assure un élève. « Mais elle sera toujours sur les réseaux », soulignent les adultes. « Parce qu’il ne s’arrête plus à la porte du collège, voire parce qu’il commence en dehors », le cyberharcèlement est un défi hors normes. S’il ne relève pas d’augmentation du nombre de cas déclarés, Pierre Level souligne « le risque fort de complications et d’aggravations des situations » induit par les téléphones portables.

LP/J.B. 

Si ces derniers sont désormais interdits dans les établissements, « c’est souvent en dehors que se développe cette pratique, le rôle de la prévention et la sensibilisation des élèves prenant alors tout son sens ». Pour que cette prise de conscience ait lieu, « nous menons diverses actions tout au long de l’année », poursuit le responsable. La médiation par les pairs, « pour apprendre aux élèves à régler les petits conflits en eux », l’intervention d’associations, des forces de l’ordre…

Une pédagogie ludique se révèle particulièrement efficace, comme ce jeu vidéo, accessible en ligne gratuitement sur www.stoplaviolence.net. Les jeunes y incarnent un enquêteur au sein d’un établissement. « Ils ont adoré », sourit Valérie Strub. Les élèves peuvent aussi participer au concours national Non au harcèlement. « Ils doivent créer une vidéo ou une affiche, les participants ont jusqu’à fin janvier pour nous faire parvenir leurs productions », signale Pierre Level.

Commémorations des 30 ans de la chute du mur de Berlin

Nos élèves germanistes de 3ème Langue et Culture Européenne ont participé jeudi 07 novembre à un projet avec les élèves de seconde du lycée Cassini afin de commémorer les 30 ans de la chute du mur de Berlin qui a eu lieu le 09 novembre 1989.

Des pancartes ont été réalisées afin d’évoquer les manifestations des habitants de Berlin- Est, demandant plus de liberté et l’ouverture du mur.

Des briques en carton décorées par les élèves ont servi à la construction d’un mur qui par la suite a été démoli.

D’autres activités ont été proposées aux élèves tout au long de cette matinée (vidéos sur le mur de Berlin, extraits de films et d’un journal télévisé de l’époque, quizz, remise de cadeaux et collation).

Un grand merci à Mme Delafraye et Mme Carré, professeures d’allemand au lycée Cassini, pour leur accueil et l’organisation de cette rencontre.

P. Binet, professeur d’allemand.

Manisfestations pour la liberté

Les boites en carton représentant le mur de Berlin

Le mur démoli.

Merci aux élèves de 3ème Langue et Culture Européenne du collège Fernel pour leur investissement et leur participation à ce projet

1ère Information concernant l’orientation

Madame, monsieur

Mme Colson , Psychologue de l’Education Nationale en charge de l’orientation intervient au collège en collaboration avec l’ensemble de l’équipe éducative.

Elle accompagne les élèves de la 6 ème à la 3 ème ainsi que leur famille en fonction de leurs besoins ( adaptation au collège, difficultés scolaires, projet d’orientation scolaire et professionnelle…).

Ses actions peuvent prendre différentes formes :

-Entretiens conseils personnalisés

-Ateliers en groupe classe

-Tests individuels

Les élèves et les parents peuvent la rencontrer au collège le lundi. La prise de rendez-vous s’effectue auprès de la vie scolaire.

Ou bien au Centre d’Information et d’Orientation de CLERMONT , 34 rue Frédéric Raboisson 03.44.50.09.23